Les 1001 Wooflash : au lycée Blaise Pascal

Il était une fois… mille et uns usages créatifs de Wooflash. Mille et un établissements. Mille et une matières, et autant de questions originales conçues par les enseignants pour accompagner leur groupe. 

Découvrez-les dans cette nouvelle série et faites le plein d’inspiration.

Un établissement

• Le lycée Blaise Pascal à Orsay

Une enseignante héroïque

• Geneviève Ponsonnet , professeure agrégée de Physique Chimie.

Les élèves qu’elle accompagne

• Une centaine d'élèves
• Une classe de seconde, une classe de première en enseignement scientifique et quatres classes de seconde en SNT ( sciences numériques et technologies)

Ce qu’elle attendait de l’outil

Même avant de découvrir Wooflash, G. Ponsonnet utilisait déjà des méthodes d’apprentissage actives en proposant des QCM numériques ou des flashcards au format papier à ses élèves. L’idée d’apprendre en jouant motivait beaucoup ses élèves et l'apprentissage des notions de cours en était facilité.

“Je sais combien il est important de proposer des outils pour « apprendre à apprendre », basés sur les recherches récentes en sciences cognitives : se tester, espacer ses révisions, fragmenter, répéter sont les clés d’un apprentissage efficient.”

La découverte de Wooflash a permis de centraliser et d’approfondir cet enseignement interactif.

“L’idée d’avoir un outil plus complet m’a tout de suite plu, et j’ai commencé à préparer des « cours » sur Wooflash pour mes élèves.”

Son usage de Wooflash

Quel contenu ?

Une notion clé sur Wooflash pour G. Ponsonnet est l’ancrage mémoriel.En partageant ses cours à ses élèves sur l’application, ceux-ci peuvent réviser de leur côté et les parcours personnalisés créés par Wooflash permettent de s’adapter aux difficultés de chaque élève. Ainsi, ils acquièrent une grande maîtrise du cours et peuvent ensuite l’appliquer plus facilement.

Comme l’explique G. Ponsonnet, elle utilise la nouvelle fonctionnalité de proposition de questions par les élèves :

“La possibilité pour les élèves de proposer des questions qui seront ensuite validées par le professeur est une nouveauté que j’attendais avec impatience, et qui permet de réaliser des parcours de révision encore plus rapidement, avec la collaboration des élèves, ce qui est aussi très formateur pour eux.”

Combien de questions Wooflash ?

• Une vingtaine de cours
• Jusqu’à une cinquantaine de questions par chapitre

Quels types de questions ?

“Principalement les QCM et les textes à trous ; j’utilise aussi les placements sur image pour légender les schémas des montages expérimentaux en chimie ou en physique. Mais tous les types de questions sont intéressants ! J’intègre par exemple dans les questions des Fiches Théoriques des images bilan ou des animations pour les accompagner dans leurs révisions.”

L’impact de Wooflash

1. Les bénéfices pour l’enseignante

Le bénéfice principal pour G. ponsonnet est d’avoir un outil complet et facile d’utilisation se basant sur les sciences cognitives pour rendre l’apprentissage de ses élèves plus efficace.

“Un atout majeur de Wooflash est de pouvoir utiliser différents types de questions (et pas uniquement des QCM) : intégrer des notions de cours, des placements sur image, des flashcards, des textes à trous… ce qui permet de créer des cours très riches et complets.”

De plus les élèves se sont tout de suite appropriés l’outil :

“J’ai été très surprise d’apprendre que très rapidement, des élèves ont d’eux-mêmes créé des cours, qu’ils ont ensuite partagés avec leurs camarades. Cela montre que lorsque l’outil est simple et efficace, et qu’il présente un réel intérêt, les élèves s’en emparent facilement. D’ailleurs la consultation des statistiques m’a montré qu’une grande majorité des élèves utilisaient régulièrement Wooflash, et travaillaient plusieurs fois les cours proposés.”

2. Les bénéfices pour les élèves

Les bénéfices pour les élèves ont été immédiats : une meilleure connaissance des cours et une émulation collective autour d’une plateforme pédagogique intuitive et collaborative.

Les élèves ont d’ailleurs commencé à créer du contenu par eux mêmes et à se le partager, ce qui est le meilleur moyen d’être actif de son apprentissage.

Enfin la fonctionnalité de gamification leur permet d’apprendre de façon ludique et renforce l’ancrage des notions.

“Je propose aussi parfois à mes élèves d’utiliser la fonction « Jeux ». En effet, les élèves aiment beaucoup défier leurs camarades, et cela crée une certaine émulation autour de l’apprentissage du cours.”