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08.07.2025 • 3 minutes
Comment faire réviser efficacement des centaines d’étudiants en cours magistral, sans les noyer sous la théorie ni les perdre en route ? C’est le défi auquel fait face Claire Poinsot, professeure agrégée d’anglais à l’Université Lyon 3. Avec plus de 500 étudiants répartis sur deux grands cours magistraux, elle a cherché une solution simple et engageante pour accompagner ses étudiants vers la réussite. Sa réponse : Wooflash, un outil pensé pour la révision active, qu’elle utilise désormais comme un véritable pilier de sa stratégie pédagogique.
« Je l’utilise en complément du cours pour qu’ils puissent travailler en autonomie. »
Claire Poinsot a adopté Wooflash dès son arrivée à Lyon 3. L’outil lui a été présenté par ses collègues, déjà convaincus de son utilité depuis la période du confinement. Mais très vite, elle s’en est emparée pour l’adapter à ses besoins spécifiques : offrir un espace de révision structuré, disponible à tout moment, aligné sur le format d’évaluation (QCM), et capable de rassurer des étudiants souvent perdus à l’approche des examens.
Le scénario est simple et efficace : après chaque CM, les étudiants retrouvent sur Wooflash les questions vues en cours (souvent issues de Wooclap) enrichies de quiz supplémentaires. Le tout dans le but de s’exercer sur le format réel de l’épreuve. Et les résultats sont là : ceux qui s’entraînent régulièrement performent mieux, aussi bien pendant les quiz en présentiel que lors de l’examen final.
Quand on enseigne devant 280 étudiants d’un seul tenant, créer de l’interaction n’a rien d’évident. Claire a pourtant trouvé un moyen ludique et structurant d’impliquer ses étudiants grâce à un duo gagnant : Wooclap en cours, Wooflash en révision.
Pendant le CM, des pauses régulières sont prévues pour des quiz Wooclap. Objectif : rompre la monotonie, favoriser l’ancrage mémoriel, créer un peu de tension amicale. Classement, podium, “drum roll”… l’ambiance se transforme : « Ils se prennent assez rapidement au jeu. »
Et la magie continue sur Wooflash : les questions sont reprises, enrichies, disponibles à volonté. L’idée : transformer la compétition ponctuelle en entraînement régulier. « À la fin, tout le monde s’y met. Je passe de quelques dizaines à plusieurs centaines de participations sur les quiz. »
Au-delà de l’aide aux étudiants, Wooflash offre à Claire des retours précieux sur sa propre pédagogie. En suivant les statistiques, elle identifie les notions les plus difficiles, les questions mal comprises, les thématiques qui nécessitent d’être retravaillées. « Est-ce que je n’ai pas été claire sur tel aspect ? Est-ce que telle notion est floue ? » Ce feedback continu renforce la qualité du cours.
Et surtout, l’outil soutient une vision de l’enseignement bienveillante et efficace. « Je n’essaye pas de les piéger. Je veux vraiment les préparer au mieux à l’examen, mais en leur laissant de l’autonomie. » Une philosophie saluée par les étudiants eux-mêmes, qui, à la fin du semestre, viennent la remercier pour avoir rendu l’épreuve plus abordable.
Loin d’un simple outil de bachotage, Wooflash permet aussi de tisser des liens dans un contexte souvent impersonnel. Grâce aux classements, Claire parvient à créer une dynamique collective. À la fin du semestre, elle organise une « grande session de révision » avec des gagnants par thématique (histoire, géo, économie) qui reçoivent de petits cadeaux venus d’Angleterre ou d’Irlande. Une touche d’humanité dans un amphi de 500 personnes.
Et l’effet dépasse l’épreuve : certains étudiants, initialement peu assidus, finissent par s’impliquer à fond, portés par l’émulation. Claire raconte avec fierté l’histoire de cet étudiant qui lui disait « J’étais 15e, je vais finir 1er. » Et il l’a fait.
Le classement n’est pas qu’un jeu : c’est aussi un levier de motivation et d’estime de soi.
Claire Poinsot, professeure agrégée d’anglais à l’Université Lyon 3
Pour l’instant, Claire reste la principale créatrice des contenus Wooflash. Mais elle voit un potentiel encore inexploité : et si les étudiants prenaient le relais ? L’idée de les faire participer à la création de quiz collaboratifs, en lien avec leurs difficultés, la séduit. D’autant plus que la fonctionnalité de suggestion de questions dans Wooflash rend cette démarche simple et intuitive.
« Ce serait chouette. On pourrait créer une base de données collaborative, un vrai espace de partage entre étudiants. »
Autrement dit, un moyen d’ajouter une nouvelle couche d’engagement et de personnalisation… sans surcharge pour l’enseignant. La boucle est bouclée : autonomie, entraide, apprentissage actif, le tout soutenu par un outil accessible et fluide.
L’expérience de Claire Poinsot illustre à merveille ce que peut devenir un cours magistral lorsqu’il est soutenu par des outils bien pensés. Wooflash n’est pas une baguette magique, mais un levier puissant pour structurer les révisions, encourager la régularité et renforcer la confiance des étudiants. C’est aussi un moyen pour l’enseignant de gagner en sérénité, en efficacité, et parfois… en reconnaissance.
Alors, pourquoi ne pas essayer, vous aussi ?
Auteur(e)
Clara Vanbellingen
Copywriter @Wooclap. Ma source inépuisable de magie pour aborder les thèmes d’apprentissage et d’éducation ? Les mots !
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