Améliorer la révision à l’université : le pari gagnant de l'Université Lyon 3 avec Wooflash

Chaque semestre, c’est la même histoire. Vous avez mis toute votre énergie dans vos cours magistraux, mais à l’approche des examens, une question vous taraude : vos étudiants sont-ils vraiment prêts ? Savent-ils comment réviser efficacement ? Et surtout… révisent-ils vraiment ?

À l’Université Lyon 3, Carène Chevalier, professeure agrégée d’anglais des affaires, s’est attaquée de front à ce défi. Avec 900 étudiants en première année de licence Gestion et Management, la révision ne peut pas se limiter à des polycopiés ou à de longues séances de relecture. C’est là que Wooflash entre en jeu et change tout.

L’outil de révision qui colle aux usages étudiants

Dans ses amphis bondés, Carène observe une réalité simple : « Tous mes étudiants ont un smartphone, une excellente connexion, et l’habitude de l’utiliser pour tout sauf pour réviser. »

Plutôt que de lutter contre ces usages, elle a décidé de les intégrer à sa pédagogie en créant des parcours de révision interactifs sur Wooflash. Résultat : les étudiants révisent dans le bus, entre deux cours, ou même pendant une pause café.

Une révision active, personnalisée et engageante

Ce qui séduit Carène dans Wooflash, ce n’est pas uniquement sa simplicité d’usage, qu’elle qualifie de « très intuitive pour les utilisateurs de Wooclap », mais surtout la dimension adaptative de l’outil.

En effet, Wooflash ne se contente pas de répéter les mêmes questions : l’outil propose à l’étudiant des exercices ciblés sur ses lacunes, favorisant ainsi une mémorisation durable et plus efficace.

Ce principe, issu des sciences cognitives et des modèles d’apprentissage actif, transforme la révision en véritable entraînement personnalisé — loin de la monotonie du bachotage classique.

Un éventail de formats pour varier les plaisirs… et les compétences

QCM, classement chronologique, associations, texte à trous, catégorisation, réponses courtes : Carène mobilise une large palette d’activités sur Wooflash, tout en conservant un lien fort avec les exigences de l’examen final.

« Nos évaluations sont en QCM, donc j’intègre beaucoup ce format. Mais je diversifie pour toucher d’autres formes de mémorisation. »

Elle va même jusqu’à organiser ses parcours de révision de manière visuelle, avec des vignettes thématiques facilement repérables sur Moodle. Une attention aux détails qui renforce la fluidité pour les étudiants.

Cerise sur le gâteau : les contenus de Wooclap peuvent être réutilisés et enrichis dans Wooflash, facilitant la création de parcours sans effort supplémentaire.

Une solution qui répond à un besoin réel

Carène n’a pas eu besoin d’imposer Wooflash à ses étudiants : ce sont eux qui en redemandent.

« À l’approche des partiels, ils me demandent toujours : ‘Madame, on aura un Wooflash pour réviser ?’ »

Le succès est tel qu’elle envisage déjà de déployer la solution à d’autres niveaux de licence. Et bien que mesurer l’impact chiffré sur les résultats soit complexe, Carène n’a aucun doute :

La révision en mode Wooflash : une nouvelle habitude à instaurer

En rendant la révision plus mobile, plus dynamique et plus personnalisée, Carène Chevalier illustre parfaitement le potentiel de Wooflash dans l’enseignement supérieur. Sans révolutionner tout son cours, elle a su créer un espace parallèle, complémentaire, motivant — un sas de consolidation des connaissances qui colle aux rythmes de vie des étudiants.

Et vous, que faites-vous pour booster l’engagement de vos étudiants dans leurs révisions ? L’exemple de Carène prouve qu’il suffit parfois d’un petit coup de pouce technologique pour créer une vraie différence.